La 31e chambre correctionnelle parisienne se penchait en fin de semaine dernière sur une séquence dans laquelle le « monstre sacré du cinéma français » avait « sexualisé » une fillette d’une dizaine d’années, mais dont il estimait qu’elle avait été détournée – dans plusieurs sens du terme. L’examen de sa citation directe a été l’occasion d’incursions dans à peu près toutes les matières possibles et imaginables : pénal, civil, administratif, travail, propriété intellectuelle…

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