Vendredi 28 novembre, la Cour de cassation se réunissait une deuxième fois dans le cadre de l’affaire non élucidée Marie-Thérèse Bonfanti, disparue en 1986. Clôturé en 1989, le dossier avait connu un rebondissement en 2022, soit 36 ans plus tard, l’un des suspects ayant avoué avoir tuée la jeune femme. Il avait sollicité sa remise en liberté pour cause de prescription de l’action publique, et depuis 2023, la question reste en suspens. Ce nouvel arrêt pourrait faire jurisprudence en matière de cold cases.